C’est terrible de l’écrire, mais quasi rien dans l’art d’Angela Hewitt ne parvient à retenir mon attention, surtout lorsqu’elle débite son Bach, si attentive au texte, si exacte, si plate.
Une poignée de microsillons, rares, traqués par les pianophiles, aura fait sa légende et je dois avouer n’avoir jamais espéré le retour de ses disques magiques en un album si soigné. Bravo SonyContinuer la lecture de Maryla Mazurka→
Je collectionne les disques de Charles Owen depuis que j’ai découvert ses merveilleuses Soirées de Nazelle, son piano franc, son art de chanter, son lyrisme généreux. Après Janáček, Fauré – Dieu Continuer la lecture de Sérénité→
C’est quelque chose l’équilibre. On a oublié que ce peut être une vertu. Écoutant avec retard le nouveau disque Bach d’Edna Stern où elle joue un Steinway fruité dans l’acoustique parfaite du Théâtre Impérial de Compiègne, je me surprenais à penser que ce piano n’était pas d’aujourd’hui. Continuer la lecture de Venu d’hier→
Un plein disque de musique de piano d’Albert Roussel – label Véga ou Pleïade, je ne sais plus trop – avait bercé mon enfance. Lélia Gousseau en était l’interprète, juste un nom, pas même une photographie pour mettre un visage sur ce clavier plein de timbres et de caractère, mais si stylé et que je ne pouvais m’empêcher, tout gamin que j’étais encore, de le rapprocher de celui de Marcelle Meyer. Continuer la lecture de Lélia retrouvée→