Konstantin Lifschitz, jeune homme, fit des débuts très remarqués au disque, en enregistrant les Variations Goldberg peu après avoir remporté avec elles son diplôme de fin d’études au Conservatoire Gnessin en 1994. Vingt ans plus tard Continuer la lecture de Obsession Goldberg
L’Aube
Crépusculaires, les ultimes opus que Johannes Brahms destina à son cher piano, le compagnon de sa jeunesse chez Schumann ? Stephen Hough, dès le Capriccio qui ouvre l’Opus 116 réfute cela Continuer la lecture de L’Aube
Pétrisseur d’ivoire
Horowitz aimait donner Etincelles en bis, il savait bien qu’après Chopin, Moszkowski avait su lui aussi écrire à la perfection pour le piano. Ses miniatures délicieuses font la part belle aux plaisirs Continuer la lecture de Pétrisseur d’ivoire
Ballade lyrique
Håkon Austbø, si versé dans la musique française de Debussy à Messiaen en passant par Ravel montre le piano de Grieg dans une filiation (et une paternité) différentes.
A-t-on jamais joué à ce point Continuer la lecture de Ballade lyrique
Futurisme
Il y aura toujours deux façons d’envisager les Sonates de Scriabine, soit comme le produit d’un art décadent, encombré par le symbolisme et l’ésotérisme (ce que laisse volontiers accroître la prose et les déclarations du compositeur) Continuer la lecture de Futurisme