Les harmonies dorées de la Siziliane, sa ligne de chant belle comme une arabesque de Klimt font soudain Raul Koczalski proche de Joseph Marx, mais ce n’est pas l’essence de ses autres mélodies : le chant déclamé des Hafiz Continuer la lecture de Orient
Le magicien
Albert Ferber : je découvrais un jour à Londres deux microsillons Saga formant une anthologie Fauré qui m’intriguait. À l’époque, on pouvait demander à entendre les disques en boutique, le vendeur plaça le diamant sur le 13e Nocturne Continuer la lecture de Le magicien
Violoncelle de France
Le ton heurté du Pleyel de 1917, l’archet douloureux du violoncelle, qui hache ses phrasés, quelle entrée dans la Première Sonate de Fauré nous font Anne Le Bozec et Alain Meunier Continuer la lecture de Violoncelle de France
Manteau de nuit
1973. À l’Opéra de Munich, on avait déjà coutume de donner le répertoire italien dans la langue originale, Sawallisch s’y employait, mais pour ce Tabarro, cédant au souhait de Günther Rennert, il en resta à la version allemande assez habile Continuer la lecture de Manteau de nuit
Son Beethoven
Leonidas Kavakos l’assume : il dirigera son Concerto de Beethoven du violon, et il vaut mieux. Même avec une phalange aussi rôdée à l’œuvre que celle des Bavarois, le risque s’entend. C’est que, phrasés Continuer la lecture de Son Beethoven