Bruckner, toujours, et Beethoven aussi. Je désespérai qu’Herbert Blomstedt vînt enfin au cycle complet des Symphonies de Brahms, deux du moins avec le Gewandhaus avaient paru sous des étiquettes différentes (Quatrième pour Decca, Deuxième chez Querstand) Continuer la lecture de Immensité
Baroque
Sombre Kyrie ! Avant qu’Ana Maria Labin n’entonne son Kyrie, Marc Minkowski donne une couleur tragique à la grande Messe en ut, soupesant ses ombres, affirmant un sens du discours qui entend bien immerger l’œuvre dans une esthétique baroque Continuer la lecture de Baroque
Martha chez Elle
Elle aura fait des deux premiers Concertos de Beethoven des compagnons de longue date y revenant plusieurs fois au disque, mais on me permettra de trouver que ces derniers temps, elle est parvenue à un naturel Continuer la lecture de Martha chez Elle
L’Ancien et le Nouveau monde
On sait Sir Edward Elgar, épuisé par les drames personnels, horrifié par l’apocalypse de la Grande Guerre, devenu muet jusqu’à cet été et cet automne du Sussex où soudain il se penche sur une part délaissée par sa plume : la musique de chambre. Continuer la lecture de L’Ancien et le Nouveau monde
Lyrique
Jeune homme, Philippe Bianconi fréquenta le grand répertoire germanique auprès d’Hermann Prey, l’accompagnant chez Schubert, trouvant dans son chant le chant même de tout un pan du répertoire pianistique.
Quelle merveille de le voir rendre aux Concertos de Brahms Continuer la lecture de Lyrique