Choisissant chez Kreisler de quoi faire un plein disque, Dmitry Sitkovetsky se détourna des compositions originales de pur charme pour herboriser parmi les transcriptions : interprète, il se tourne logiquement du côté de l’interprète. C’est vouloir saisir Continuer la lecture de Fantaisies et poèmes
Le Diable et l’Ange
Les timbres. Voyez-vous, les timbres font un pianiste. Oui, il lui faut des doigts, du panache, de la musicalité, mais sans les couleurs le piano reste en noir et blanc. Les timbres ne sont pas donnés à tout le monde, mais Nathanaël Gouin en est le jeune maître. Continuer la lecture de Le Diable et l’Ange
Apothéose des castrats
Le temps de Vinci serait-il venu ? Une tasse de chocolat empoisonné aura eu raison à quarante ans de ce séducteur impénitent, autre Casanova, ce héros de l’Opéra napolitain qui commença à écrire des œuvres dans le dialecte local et aura attendu ses trente ans pour conquérir l’opera seria à Rome Continuer la lecture de Apothéose des castrats
Bartók et pas seulement
Bartók évidemment, la grande anthologie des œuvres pour piano où pas un opus d’importance ne manque, reste ce phare, qui ancra dans les discothèques des mélomanes des années cinquante le nom d’Andor Földes, au point d’éclipser le reste de son héritage discographique. Continuer la lecture de Bartók et pas seulement
Immensité
Bruckner, toujours, et Beethoven aussi. Je désespérai qu’Herbert Blomstedt vînt enfin au cycle complet des Symphonies de Brahms, deux du moins avec le Gewandhaus avaient paru sous des étiquettes différentes (Quatrième pour Decca, Deuxième chez Querstand) Continuer la lecture de Immensité