Wilma Cozart-Fine ne croyait guère à Antal Doráti pour les classiques, qu’il enregistre plutôt Bartók, Schönberg, Copland, Respighi. Elle avait tort, la preuve ici.
Dès 1952, à Minneapolis Continuer la lecture de Alerte Antal
Wilma Cozart-Fine ne croyait guère à Antal Doráti pour les classiques, qu’il enregistre plutôt Bartók, Schönberg, Copland, Respighi. Elle avait tort, la preuve ici.
Dès 1952, à Minneapolis Continuer la lecture de Alerte Antal
L’alto était devenu cet instrument d’orchestre, méprisé des compositeurs, qui n’avaient plus écrit pour lui d’ouvrages concertants majeurs depuis la Symphonie concertante de Mozart, oubliée elle-même, pire !, d’opus d’importance Continuer la lecture de Altos d’Albion
Josef Krips dirigea tout à l’Opéra de Vienne, avant et après la Seconde Guerre, ce que fait un peu oublier le légendaire ensemble Mozart qui ressuscita tout un art qu’on croyait perdu. La Traviata était sa propriété in loco, et plus encore Continuer la lecture de Ileana Valéry
Si l’Opéra de Vienne eut bien une diva, et une diva dont la voix vous autoriserait à la faire assoir sur vos genoux pour quelques agaceries, ce fut bien elle.
Si Edita Gruberova voulu à toute fin être les trois reines de Donizetti, ce ne fut pas Continuer la lecture de Zerbinette
Mozart fut une constante dans la vie et dans l’art de Sir Charles Mackerras, que couronna un cycle lyrique pour Telarc où se bousculaient dans un théâtre effervescent un admirable ensemble de jeunes chanteurs. Sur cette scène ébouriffante Continuer la lecture de Ultima Verba