Le titre du papier ne veut pas paraphraser Goethe, dont le « Mehr Licht » avait une portée métaphysique. Chez Neville Marriner la lumière était à la fois une philosophie – rendre tout le texte et rien que le texte – et une politesse : faire tout sonore et accessible, aux auditeurs de ses concerts comme à ceux de ses disques Continuer la lecture de Plus de lumière
Concertos de jeunesse
Enregistrant les deux concertos destinés au violon que Britten composa dans les années trente, Baiba Skride choisit pour le Concerto, Op. 15 la version révisée moulte fois entre 1954 et 1965. Continuer la lecture de Concertos de jeunesse
Adieux huit fois
L’objet en lui-même est un poème dès le recto de l’album. Penchez-le un peu, des ailes de fée poussent à Asmik Grigorian, la sauvant de ses habits de deuil Continuer la lecture de Adieux huit fois
Les mots de la voix
Une grande voix d’opéra peut-elle se plier à la mélodie ? Fatalement, Piotr Beczała aura épousé le répertoire lyrique russe, et d’abord les héros tragiques de Tchaikovski, Lenski, Herman surtout Continuer la lecture de Les mots de la voix
Naissance d’un Beethovénien
Plus de concerts, mais la solitude qui l’aura préparé à cette ascèse nécessaire : Emil Gryesten se sera engagé dans un huis clos avec l’ultime Beethoven : ces deux disques Continuer la lecture de Naissance d’un Beethovénien