Adam Laloum est un fidèle, le voir retrouver Mi-Sa Yang, la violoniste du Trio Les Esprits, qu’ils avaient formé durant leurs années de prime jeunesse, rappelle à quel point la donne lyrique reste base de leur syntaxe commune. Continuer la lecture de Tombeau de Lorca
Magie claire
Un piano ? Un orchestre ! Behzod Abduraimov déploie une palette de couleurs, une variété d’accents, un imaginaire de flûte, de trompette, de violon dans le grand piano que son toucher varie à l’infini. Continuer la lecture de Magie claire
La retrouvée
Maurice Ravel, l’entendant créer Ma mère l’Oye, fut touché au point de lui écrire. Trois années plus tard, il lui dédiera le merveilleux petit Prélude qui cache mal, sous son office de morceau de déchiffrage pour le Conservatoire, un soupir de tendresse où passe plus que de l’admiration. Continuer la lecture de La retrouvée
Lumière du Romantisme
Tout Mendelssohn ? Quasi. En tous cas, aucune d’œuvre d’importance ne fait défaut à la somme considérable que réunit Warner, sinon côté piano, et aucune somme Mendelssohn qu’un autre éditeur aurait assemblée ne pourrait s’y comparer en termes de pure qualité. Continuer la lecture de Lumière du Romantisme
Deux mondes
On aura trop longtemps situé la Symphonie d’Ernest Chausson dans le sillage de l’école franckiste et son illusion du principe cyclique, les œuvres, contrairement aux Symphonies d’Albéric Magnard Continuer la lecture de Deux mondes