Le plus beethovénien des cinq ? C’est ce qu’affirmait Géza Anda qui le jouait plus que les quatre autres. Martin Helmchen, dès son entrée ténébreuse, n’est pas loin de retrouver l’ardeur épique que le Hongrois y mettait Continuer la lecture de Coda
Archives par mot-clé : Ludwig van Beethoven
Classicisme
Il l’avait prouvé avec une intégrale des Sonates de Beethoven impeccable : Jean Muller est chez lui dans le grand répertoire classique, son Beethoven justement illustrait opus après opus cette métamorphose commencée chez Haydn Continuer la lecture de Classicisme
Pianino
A Paris, dans le petit appartement que lui louait la Princesse Obreskoff (dans les bras de laquelle la légende voulut que le musicien rendit son dernier soupir) se tenait un piano droit sur lequel Chopin donnait ses leçons et qu’il caressait dans sa solitude Continuer la lecture de Pianino
Apologie du bref infini
Il fallait oser enregistrer, avant l’année Beethoven, tout un programme mêlant le plus anecdotique (mais faussement anecdotique, évidemment) et le plus sacré. Ainsi Yumeto Suenaga dévoile-t-il au long de deux disques ce focus singulier du génie beethovénien, l’éclat, au double sens de fragment et d’éblouissement. Continuer la lecture de Apologie du bref infini
Diffractions
Le premier album, qui alterne strictement les haïkus de Ligeti aux fulgurances des Bagatelles, Op. 119 exposent deux Modernes malgré eux. Le bref les dénude, mais plus Ligeti, qui s’y assèche Continuer la lecture de Diffractions