Bartók et Veress pour un premier album, retour à Lockenhaus, dont Nicolas Altstaedt est désormais le directeur artistique, et encore quelques échos de la puszta. Cette fois, la Sonate à deux archets que Zoltán Kodály composa en 1924, et dont on ne sait pas assez qu’elle est l’un de ses chefs-d’œuvre. Continuer la lecture de Magyar
Archives par mot-clé : Alpha Classics
En plein air
Deux pianoforte. Pour le grand giocoso du « Jeunehomme », un très sonore Paul McNulty d’après un Stein de 1788, et pour la pastorale en demi-teinte du 17e une merveille de fluidité et de poésie distillée par un Walter circa 1792 au médium chantant Continuer la lecture de En plein air
Le piano au fond des bois
Programme tout Weber, piochant à l’orchestre, à l’opéra, un peu fourre-tout, et que Christoph Eschenbach dirige très sombre, ce qui va bien à la romance d’Ännchen au troisième Acte du Freischütz Continuer la lecture de Le piano au fond des bois
Comédie et tragédie
Après tout, si je devais garder une seule version de Burleske, œuvre que j’adore, le tandem Arrau–Defauw me suffirait. C’est que Claudio Arrau est le seul à faire rire son clavier, y ajoutant une touche méphistophélique. Argerich sait y être prodigieuse Continuer la lecture de Comédie et tragédie
Portrait de famille
Lorsque les phrasés longs, les soupesés et les rinceaux des Tendres plaintes résonnent emplis de lumière, je me surprends à soupirer après ce clavecin. Mais oui c’est bien celui du Château d’Assas avec ses deux claviers et ses sonorités si profuses Continuer la lecture de Portrait de famille