Mariage improbable : Erich Kleiber et Jean Martinon dans le même album. Prétexte : ce sont leurs seuls 78 tours pour Decca, mais surtout l’occasion de les comparer à la tête du même orchestre, le London Philharmonic Orchestra.
On ne naît pas petit-fils de Tatiana Nikolayeva impunément : le piano d’Arseny Tarasevich-Nikolaev, qui vient de se faire recaler au Concours Tchaïkovski, victime de son choix d’un programme trop russe, est empli des timbres et de la poésie de ceux de sa babouchkaContinuer la lecture de Idéal russe→
Decca a eu raison de suivre Paul Kletzki durant son bref mandat à la direction musicale de L’Orchestre de la Suisse Romande (1967–1970) : de toute façon, les micros étaient posés au Victoria Hall et ils y étaient bien, James Lock et John MorderContinuer la lecture de Gravures oubliées→
Un ballet, un vrai ! Dans les couleurs vives des instrumentistes français, Anatole Fistoulari, qui n’avait pas sa baguette dans sa poche, délivre la version la plus narrative de La Belle au bois dormant que le disque ne connaîtra jamais. Un vrai théâtre dansé Continuer la lecture de La Belle éveillée→
Au cours des années cinquante, Decca posa ses micros à l’opéra de Belgrade. Objet, y saisir d’abord le Boris et le Dosifei de Miroslav Čangalović et réaliser une série d’enregistrements d’opéras russes par une troupe les ayant naturellement à son répertoire.