Une idée de l’absolu

Les Sonates pour clavier de Mozart sont les plus périlleuses du répertoire, non pour les doigts, mais par leur musique. Sviatoslav Richter les redoutait, mais il avouait sans rougir qu’il comprenait mieux le « gentil Haydn » que ce diable de Mozart. Les pianistes s’y montrent prudents Continuer la lecture de Une idée de l’absolu